Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
ESPACES interculturels CINEMA
ESPACES interculturels CINEMA
  • Plus seulement des spectateurs privilégiés mais des regards critiques sur tout ce que l'on nous donne à voir au Cinéma sur ses problématiques et son rôle. Ecouter -voir ce qu'est la vie.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Archives
Derniers commentaires
26 mars 2008

Le décés d'un présentateur connu et reconnu

Bien sur que ça met en colère et qu'on se sent frustré, même si on ne le connaissait qu'à travers la lucarne de la télévision. 49 ans c'est encore un peu jeune, mais là ou ça blesse beaucoup c'est parce que ce pro du ballon et ce journaliste sportif, partout où il est passé, s'était fait remarqué par son professionalisme, et ce qui n'enlève rien, son côté rieur (gentil). C'est toujours intérressant d'avoir à faire à quelqu'un de droit et de gentil qui, comme l'a dit un de ceux avec qui il avait collaboré :" c'était quelqu'un de passionné, profondément droit et gentil qui avait des convictions et un savoir faire"...

C'était une "figure" du monde sportif, comme avant lui des présentateurs tel Roger Couderc et bien d'autres. On sentait à travers ses émissions que tout avait été soigneusement préparé.

Cela nous rappelle aussi que le "travailler plus" a aussi ses limites et que le stress, s'il rapporte plus d'argent, est souvent la preuve que personne ne peut ne peut ignorer les besoins de santé de chacun (e). La crise cardiaque a bon dos....

Salut Thierry; beaucoup vont penser à toi en ouvrant leur journal ou leur télé, d'autres attendront le match que ce soir tu vas louper; moi, je ne sais pas pourquoi, c'est à ce qu'écrivait RAFAEL ALBERTI à quoi je pense aussi:

" jouvre le journal. Quelle angoisse infinie!

Quelle douleur regarder tranquillement le pré,

le ciel très innocent d'azurs angéliques,

la vallée seule et son fleuve caché,

monts de figuiers et d'oliviers qui ouvrent

paisiblement les bras au vent !...

Oh que d'angoisse et quel remords

vivre en une seule minute

sans faire rien pour arrêter la mort,

la mort en son immunité, libre

de tuer, les armes à la main!

("j'ouvre le journal...")

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité